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Ceci est un billet que j’ai rédigé au moment de la sortie du livre.
Cliquez ici pour plus d’infos sur le livre Sauver la planète une bouchée à la fois.
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Et voilà. Il est arrivé. Je suis allé le chercher aux Éditions La Presse hier. Mon premier livre! Je n’en reviens tout simplement pas. Même si cela fait un an que je travaille sur ce gros projet, on dirait que je ne réalise pas que c’est vraiment MON livre que je tiens dans mes mains. Je suis très fier du résultat.
J’ai envie de vous le présenter en primeur ici, puisque sans vous, ce livre n’existerait pas!
1 – Quel est le sujet?
Sauver la planète une bouchée à la fois traite de l’impact environnemental de notre alimentation. Mon but avec ce livre est de montrer qu’une saine alimentation allie la santé humaine à la santé de la planète. C’est ce qu’on appelle une alimentation durable.
J’aborde une panoplie de sujets qui touchent à différents aspects de l’alimentation. Je parle, par exemple, des aliments biologiques, de l’agriculture urbaine, de la pêche durable, du Lundi sans viande, du gaspillage alimentaire, des aliments « sauvages » et de dizaines d’autres sujets qui ont un impact sur la santé humaine et la santé environnementale.
2 – À qui s’adresse le livre?
Vous aimez mon blogue? Vous allez aimer le livre! Il s’agit d’un guide pratique dans lequel j’offre une centaine de trucs et de conseils. Que vous soyez quelqu’un qui s’y connaît peu en alimentation ou un passionné qui cherche toujours à en savoir plus, il y aura certainement des trucs pour vous!
Certains trucs sont plus faciles à mettre en pratique (par exemple, cuisiner) et peuvent avoir un grand impact sur l’environnement, d’autres demandent plus d’effort (par exemple, cultiver un potager), alors que certains sont là pour démarrer des discussions (par exemple, pratiquer le déchétarisme). Évidemment, je ne laisse jamais tomber ni le côté « gourmand », ni le plaisir! Ce sont des facettes de la saine alimentation qui sont indispensables à mon avis!
3- Qui sont les collaborateurs au projet?
Si vous suivez ce blogue, vous savez que le côté visuel est très important pour moi. Puisque je passais toujours près de couler mes cours d’arts plastique au secondaire, vous comprendrez que je n’aurais pas pu réaliser ce beau projet sans l’aide de personnes très précieuses.
Le premier, vous le connaissez! Il s’agit de Simon L’Archevêque, le graphiste derrière tous les infographiques de ce blogue. Il s’est occupé de la direction artistique du projet, des (très nombreuses) illustrations et de la mise en page. Plusieurs dizaines d’illustrations et d’infographiques agrémentent la lecture. Si la couverture est colorée, l’intérieur l’est tout autant. Vous allez voir : c’est trop beau!
Katya Konioukhova, pour sa part, s’est chargée des photos. Je vous l’avais dit que le visuel était important pour moi! Katya est très talentueuse et vous allez tomber sous le charme de ses photos.
Bien qu’il ne s’agisse pas d’un livre de recettes, certains trucs auraient été incomplets sans quelques idées à cuisiner. Quand j’ai réalisé que je n’avais pas de talent pour créer des recettes, j’ai fait appel à ma collègue nutritionniste Julie Aubé qui est exceptionnelle dans ce domaine. Attendez de goûter à sa « tartinade choco-noisettes » au sirop d’érable, sans huile de palme!
4 – Quand sera-t-il disponible?
Le livre sera disponible dès le 23 mars dans toutes les librairies! Il sera vendu au coût de 26,95$.
Vous pouvez déjà le commander en ligne et d’autres liens devraient s’ajouter!
5 – Est-ce qu’il y aura un lancement?
Oui! Le lancement a lieu à Montréal, à la Taverne Midway, le 23 mars. Vous pouvez joindre l’événement Facebook! J’espère vous y voir!
Commandé!
Merci! 🙂 Hâte d’avoir vos commentaires!
j’ai une interrogation quant au bouillon de légumes. Tous les pesticides se trouvent dans les pelures alors je me demande si c’est vraiment sain de le faire?
La petite quantité de pesticides consommée à partir des fruits et légumes ne semble pas affecter la santé, selon la plupart des études.
Cependant, si vous voulez réduire la quantité de pesticides que vous ingérez:
1) Choisir les légumes qui en contiennent le moins (ce sera abordé dans une autre section du livre)
2) Choisir des légumes bio (j’en parle aussi)
3) Nettoyer, sous l’eau, les légumes, à l’aide d’une brosse
Bonjour,
Est-ce que votre livre sera en prévente à l’expo manger santé et vivre vert? Merci.
Non, il ne sera pas en vente à l’expo manger santé! Seulement à partir du 23 mars!
Bonne journée,
Très hâte de le lire !!!
Merci! 🙂
Concept très intéressant, j’ai bien envie de l’acheter!
Mais comment est-il produit ce livre? Y a-t-il un peu de contrôle sur la provenance du papier? Car sinon, vous avouerez que c’est un peu dommage…
Merci! 🙂 Le livre a été imprimé au Québec sur du papier en partie recyclé.
Bonjour,
Au point no 2, quelle est la grandeur de votre sac avec les épluchures ? Des sacs refermables, il y en a de toutes sortes de dimensions et j’ai de la peine à me figurer combien ça prend d’épluchures pour faire un bon bouillon.
C’est un sac refermable de grande taille, pour le congélateur. Je ne pourrais pas dire le volume, mais ce sont les plus gros! 🙂 De toute façon, il suffit de couvrir les légumes d’eau dans la casserole, peu importe la quantité, cela devrait à peu près donner un bouillon satisfaisant!
Félicitations pour votre ouvrage qui trouvera certainement une place de choix dans notre paysage littéraire !
J’ai, quant à moi, une interrogation et même un scepticisme quant à l’utilisation de pelures de légumes (tout comme Élizabeth du 14 mars) pour concocter un bouillon « santé ».
Parallèlement à ça, j’aimerais avoir votre avis suite à la diffusion de l’émission « l’Épicerie » du 25 mars dernier, sur les dangers (prouvés) des pesticides utilisés de façon croissante dans la culture desdits légumes, comment peut-on penser « santé » quand on sait que ces salopards (terme utilisé lors de l’émission) se retrouvent principalement dans les pelures ?
Qu’en est-il exactement pour vous qui collaborez régulièrement à cette émission.
Personnellement, j’ai trouvé que les conclusions émises à la fin du reportage, sur une note plutôt légère (si vous ne pouvez vous payer de bio, ne vous limitez pas à en consommer quand même), étaient inconséquentes avec les données émises en début de reportage (la liste des 12 salopards).
Bonjour et merci pour vos bons mots!
Oui, pour certains fruits et légumes, les pesticides se retrouvent sur la pelure. C’est le cas de ceux qui se font asperger directement! On peut ainsi les nettoyer pour en enlever une partie, en les passant sous l’eau. Les pesticides, à forte dose, ont effectivement des effets néfastes sur la santé. Cependant, ces derniers ne sont pas prouvés aux doses mangées par les consommateurs. Manger des fruits et des légumes, bio ou non, est bon pour la santé et surpasse les effets des pesticides. Si vous désirez diminuer votre ingestion de pesticides, vous pouvez choisir les versions bio des fruits et des légumes qui en contiennent le plus.
Merci beaucoup et bonne journée!
Merci d’avoir pris le temps de me répondre. Bon succès !!
Ce livre est un petit bijou! Les conseils sont pratiques et s’intègrent bien au quotidien, le graphisme est très mignon et les recettes délicieuses. Merci d’offrir aux lecteurs québécois et québécoises un tel ouvrage, qui deviendra, je l’espère, un véritable guide en matière d’alimentation verte et durable. Nous en avons grandement besoin!
Merci et au plaisir de vous lire encore 🙂
Wow! Merci! 🙂
Que pensez vous des fraises d’hiver produites sous serres au Québec? Il paraît que ces dernières tolèrent bien le froid…On se demande s’il est mieux d’acheter nos fraises d’ailleurs pendant l’hiver ou de continuer d’acheter local… supposons que les options « congelées, sèches, en confiture, etc » ne soit pas envisageables…
Bonjour,
Je n’ai pas de données précises sur les fraises de serre, mais il est clair que nous devons dépenser de l’énergie pour chauffer, éclairer et ventiler les serres. Lorsqu’on utilise des énergies fossiles pour le faire, on dégage beaucoup de gaz à effet de serre. Dans le cas de la tomate, il avait été déterminé par des chercheurs qu’il valait mieux se tourner vers des tomates importées pendant l’hiver pour avoir un impact moins grand d’un point de vue environnemental. Cela ne m’étonnerait pas que ce soit la même chose pour les autres fruits et légumes.
Bonne journée,